15 janvier 2005
Quand on va chez le boucher,ou ailleurs, quand on
Quand on va chez le boucher,ou ailleurs, quand on se mèle à la comédie sociale, il faut savoir tenir sa place.
Il faut savoir tenir son rôle avec suffisamment d'inconscience pour que ça soit naturel, ou suffisamment de rouerie pour que ça le paraisse.
Quelquefois on voit quelqu'un qui ne tient pas sa place, qui paraît décalé, et qui met aussitôt la comédie par terre. Tout le monde lui en veut : il est bizarre celui là ! Il n'est pas comme nous. Il devrait se méfier. C'est un rabat-joie. Ou un briseur de grève !
Mais ce sera peut-être lui qui nous retiendra de céder, au tout dernier moment, au prochain entraînement collectif, impulsé par le prochain manipulateur en chef !
Ces reflexions inspirées par la lecture du livre "l'ensorcellement du monde", de Boris Cyrulnik, ed. Odile Jacob, paragraphe "ensorcellement et théâtre du quotidien".
Il faut savoir tenir son rôle avec suffisamment d'inconscience pour que ça soit naturel, ou suffisamment de rouerie pour que ça le paraisse.
Quelquefois on voit quelqu'un qui ne tient pas sa place, qui paraît décalé, et qui met aussitôt la comédie par terre. Tout le monde lui en veut : il est bizarre celui là ! Il n'est pas comme nous. Il devrait se méfier. C'est un rabat-joie. Ou un briseur de grève !
Mais ce sera peut-être lui qui nous retiendra de céder, au tout dernier moment, au prochain entraînement collectif, impulsé par le prochain manipulateur en chef !
Ces reflexions inspirées par la lecture du livre "l'ensorcellement du monde", de Boris Cyrulnik, ed. Odile Jacob, paragraphe "ensorcellement et théâtre du quotidien".
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