des échos assourdis de sarkozie
La Sarkozie est un pays nouveau, qui se confond à peu près avec l'ancienne France, mais ne lui est pas tout à fait identique.
Avoir des nouvelles de ce pays n'est pas difficile : il suffit d'allumer la télé, lire des titres des journaux, écouter la radio... Ce serait plutôt d'échapper au pilonnage incessant qui est difficile. Un pas de coté, un regard en biais, et voilà ce qu'on voit :
C'est dans le dernier acte que le personnage se révèle enfin tel qu'en lui-même. Un adoubement, une confession, une allégeance. Le regard vide et fuyant du traitre, la discrète satisfaction du manipulateur.
Alors à son dernier acte à lui, qu'en sera-t-il, verra-t-on sa vraie nature ?
À moins que brusquement ne se révèle...
En tout cas, une chose est sûre : qui a vaincu par la com', périra par la com'.
En attendant, supporter les provocations :
"Vous souhaitez communiquer sur vos vacances, M le président ?
-Oui. Faites dire que la location coûte 30 000 $ par semaine."
(Charb dans le dernier Charlie-Hebdo)
et les insultes :
"Elle est de la race des seigneurs"
(Cécilia à propos de Rachida, ou l'inverse. Et nous qui ne sommes pas de la race des seigneurs, sommes-nous de celle des esclaves ? des serfs ? sommes-nous la racaille ? )
Que faire contre le tout Sarkozy. Le dénoncer c'est l'aggraver. Se taire c'est l'approuver.